La première impression…

« Vous n’aurez jamais une deuxième chance de faire une bonne première impression » D.Swanson.

Chaque jour, nous rencontrons de nouvelles personnes. Immédiatement, nous nous faisons une idée sur celle-ci.  Nous nous fions aux apparences. Mais ne culpabilisons pas!Cela est involontaire : il s’agit d’un mécanisme psychologique. Nous avons un avis, un ressenti, mais la personne d’en face également. Cela est valable pour les deux protagonistes d’une relation. 

Les bases de la première impression :

La première impression est souvent basée sur le physique. Pourquoi cette personne nous semble sympathique? Joyeuse? Agréable? Elle a un air de ressemblance avec une personne aimée, peut être elle a aussi son caractère ? Celle- ci est habillée de manière chic, elle doit avoir un bon métier, être intelligente… parfois nous avons l’impression qu’il est utile de se méfier…  « je ne la sens pas »…

Le cerveau nous envoie des signaux. Si  nous sommes à l’écoute de nous même, nous pouvons outrepasser certains préjugés pour connaître davantage la personne. Si nous n’avons pas confiance en notre intuition, nous devons également avancer dans la relation pour nous prouver le contraire .

Mais quoiqu’il en soit notre esprit garde  en mémoire ce premier avis. Et il en est de même pour les personnes qui nous rencontrent la première fois. En fait nous faisons une interprétation très sélective de ce que nous recherchons et attendons. Nous jugeons les autres sur la base de nos observations initiales. Et cela  est  naturel.

Faire bonne impression :

Lorsque nous nous présentons à un entretien d’embauche, à un rendez vous professionnel, pour obtenir un crédit et même pour un premier rendez-vous amoureux, nous devons faire une bonne apparence .  Il est important de soutenir du regard notre interlocuteur, le regarder dans les yeux. Nous pourrons ainsi la capter. Ajoutons à cela le sourire . En se montrant heureux et serein, celui-ci se calera sur nos ressentis et s’adaptera sur notre attitude. Le plus simple est d’être nous. Agir le plus naturellement possible. Ainsi, nous sommes en pleine possession de notre être et montrons notre face de confiance . A notre manière de nous comporter, se joint la façon de nous habiller. Et même si « l’habit ne fait pas le moine » il influence grandement la perception que l’on veut donner. De plus, si nous employons  du vocabulaire positif, les premiers mots de la conversation seront perçus de manière bienveillante et empathique. La manière dont nous serrons la main a également son importance. En agissant ainsi,  nous ne pourrons qu’influencer favorablement la suite de la relation.

La mauvaise impression :

Parfois, nous avons donné ou eu une mauvaise impression. Cela est heureusement réversible. Dès que nous en sommes conscients, nous pouvons essayer de mettre en pratique les comportements adéquats.

Rappelons nous que prendre conscience du langage du corps nous permettra de faire preuve de contrôle : soigner  notre apparence, avoir  des gestes affirmés, soutenir le regard, arborer un sourire donneront forcément une bonne première impression. 

Avoir confiance en soi, en sa façon d’être et de faire, est la meilleure façon de faire bonne impression. Je peux vous y aider…

Être la maîtresse d’un homme marié…

Une relation adultérine débute comme toutes les histoires d’amour. Les papillons dans le ventre, les promesses mais bientôt la réalité prend le dessus : L’homme que nous aimons est marié. Être maîtresse c’est accepter d’avoir le second rôle. En effet nous sommes célibataire officiellement alors que nous nous sentons en couple intérieurement. Même si nous ne choisissons pas de tomber amoureuse d’un homme marié , aucune relation n’arrive par hasard!

Pourquoi une telle relation ?

La clandestinité apporte une excitation à la relation. Les moments sont choisis.  Ils n’en sont donc que plus précieux. 

L’amant justifie son infidélité auprès de sa future maîtresse . Il la place dans la position de confidente et de sauveuse. Bien qu’elle agit contre ses valeurs , sa morale, son éducation elle se lance dans la relation en utilisant le refoulement ( dans ce cas la on peut parler d’aveuglement) comme mécanisme de défense. Elle justifie les mensonges et les agissements de son amant parce qu’elle est persuadée qu’il est prisonnier d’une relation non satisfaisante, subie ou étouffante. Le statut d’amant rend sans doute bien plus séduisant sa moitié qu’il ne l’est vraiment.

Qui sont ces femmes?

Les maîtresses sont souvent des femmes libres qui assument leur vie et vivent pleinement leur amour. Elles n’en souffrent pas moins. Tout le paradoxe est la : ces femmes sont indépendantes et acceptent la vie dans l’ombre. Elles sont tiraillées entre l’espoir et le mensonge ?

Aucun humain n’accepte de souffrir pour souffrir. Freud appelle cela « le bénéfice secondaire». 

  • Certaines choisissent cette position pour ne pas être trompée . Elles revendiquent ce statut, et échappe ainsi au modèle de couple parental qu’elles connaissent . Elles pensent avoir le  meilleur de l’homme interdit :  le plaisir, la tendresse, la sexualité, les cadeaux…
  • D’autres , agissent avec un égo surdimensionné. Elle voit l’homme comme une proie. Il s’agit d’un butin excitant car il « appartient » déjà à une autre. Ce type de femmes mettent tout en œuvre pour que l’homme sur lequel elles ont jeté leur dévolu quittent leur épouse. Pour cela, elles passent souvent par le chantage affectif jusqu’à informer l’officielle. Elles veulent « coute que coûte » gagner le match.
  • Enfin, il y’a celles qui se contentent de peu. les quelques heures passées avec leur amant sont généralement des moments de grâce, intenses et passionnels. Cela leur suffit . Elles ont une peur bleue de l’engagement. Elles peuvent rester des années à être femme de l’ombre.

Vivre la relation ?

Une relation adultérine est une parenthèse dans la vraie vie. Même une vie parallèle. En effet, une relation de couple n’est pas constituée exclusivement d’ébats passionnels, de bons moments . Il y a aussi le quotidien, les petits tracas, la fatigue, les soucis, la famille, les enfants qui finissent par peser sur la relation. Cette routine n’existe pas lorsqu’on fréquente un homme quelques heures par semaine. Même si un semblant de train-train peut se créer. On peut parler de relation mais pas de couple. Car finalement on ne connaît que très peu l’autre. Celui-ci conserve une part secrète et interdite. Il est important d’être consciente des promesses illusoires et des actions concrètes en notre faveur.

Très peu de relations extra-matrimoniales  se terminent en relations officielles. De ce fait, elles génèrent beaucoup de frustration, de colère, d’anxiété. Ce trio asymétrique peut devenir toxique. En effet la personne mariée impose les règles : les jours de rencontre, les heures pour se téléphoner, les moments de partage . L’amante peut perdre peu à peu confiance en elle, pouvant même devenir insecure et en position de dépendance affective

Quoiqu’il en soit, quelque soit notre positionnement, il est important d’avoir ses propres repères. Même si nous nous retrouvons dans le rôle détesté de la maitresse, nous devons être actrice de notre vie et surtout prendre plaisir à aimer et à être aimée ..

Je peux vous y aider…

Les résolutions… (Bonne année!)

Le passage d’une nouvelle année est souvent synonyme de projets, de reprise en main, d’objectifs. Nous appelons cela : les résolutions 

En réalité, c’est le besoin de tourner une page, une envie de changement et de renouveau. La mutation est particulièrement désirable car elle apparait comme un nouveau souffle suite à l’année écoulée. Nous envisageons de transformer notre quotidien. Rien que pour cela, nous pouvons nous remercier!

En effet, tout change, autour de nous, tout le temps. Rien n’est jamais figé…Pourquoi pas nous? 

Pourquoi avons nous besoin de prendre des résolutions ?

La fin d’année sonne l’heure du constat. Notre bilan personnel a-t-il été satisfaisant? Notre année a-t-elle était conforme à nos attentes et à nos projections? Nous avons forcément subis des imprévus, vécus des moments de stress, d’angoisse mais aussi de joie et de partage.

Certaines problématiques ont été résolues, d’autres sont déjà oubliées. Nous pouvons d’ailleurs nous interroger sur l’énergie perdue sur un sujet et l’anxiété procurée. Et se rendre compte que celui-ci n’a plus aucune importance… Cela permet de relativiser les problématiques à venir.

De nouvelles opportunités se sont présentées, des projets ont été concrétisés. En un mot la vie a continué. Nous pouvons poser un regard bienveillant sur nous, sur la façon dont nous avons accepté les épreuves, les challenges de l’année .

Est- ce un échec si nous ne les tenons pas?

Déjà soyons à l’aise: la majorité des résolutions ne seront pas tenues. C’est normal. Elles sont prises parce que c’est la bonne période de l’année mais pas forcément parce que c’est le bon moment pour nous. En effet, pour qu’un changement perdure il faut que le projet qui l’accompagne soit réfléchi, anticipé. Nos motivations doivent être personnelles et non dictées .

Nous nous devons d’être bienveillants. Sachons nous réjouir des petites victoires pour ne pas nous décourager. Chaque acquisition si petite soit-elle est une réussite.

La résolution n’est peut être pas tenue pour l’année à venir mais elle a le mérite de commencer à cheminer. Cet objectif ne peut alors que mûrir. Il pourra être accompli lorsque nous serons entièrement prêt à le réaliser.

Chaque jour de l’année peut donc être le bon moment . Nous sommes seuls acteurs pour pouvoir le choisir. Nous sommes maîtres de notre vie et de nos lendemains.

Se faire accompagner :

Parfois la seule volonté ne suffit pas. Peut être que si nous souhaitons perdre quelques kilos, nous pouvons prendre l’avis d’une nutritionniste. Si nous souhaitons nous mettre au sport, se faire encourager par un coach sportif. Si nous décidons d’arrêter de fumer prendre l’avis d’un professionnel. 

Quoi qu’il en soit , le besoin de changement est un passage qui peut être compliqué. Ce processus peut aussi être scindé en plusieurs étapes afin de se satisfaire de chaque pallier. Être soi  pour enfin devenir la meilleure version de nous même est la plus belle des récompenses.

L’année à venir est une nouvelle page blanche que je vous souhaite de remplir de vos plus beaux souhaits. Commencer un travail thérapeutique est le plus beau des cadeau et la plus belle des résolutions pour vous-même.

A bientôt…

Noël

Noël, fêtes, anniversaires sont souvent l’occasion de réunion de famille .

Elles permettent à chacun de reprendre sa place . Les schémas de l’enfance sont rejoués. Tout y est ritualisé : chacun garde sa place ( souvent même autour de la table) et conserve le même rôle. L’individualité du “je” s’efface devant le groupe : celui de la représentation familiale.

La période de Noël fait écho à nos propres souvenirs d’enfance , au temps qui passe. A l’enfant que nous étions, à l’individu que nous devenons. Cette fête fait référence à la magie et possède pour certains une dimension religieuse, communautaire. 

Malheureusement, cette période est anxiogène. Cette appréhension est révélatrice de la difficulté de trouver notre place dans notre famille. Et même dans la société. Nos appréhensions ressurgissent : pression sociale, surconsommation, lumières, l’organisation entre les familles, le repas et décoration parfaits deviennent alors des angoisses .

Pourquoi le repas de noël n’est pas un repas comme les autres alors que les mêmes protagonistes y sont présents?

Parce que chaque année le fantasme du noël parfait, ou tout le monde est content, s’offre de jolis cadeaux ressurgit . Nous avons une vision idéalisée de cette période. 

Nous nous sentons obligés de nous retrouver en famille selon des codes familiaux définis. Nous ne nous sentons pas forcément entourés de gens bienveillants et réconfortants. Notre maturité psychologique a évolué mais autour de la table nous nous retrouvons à notre place d’enfant. Si les gens n’ont pas fait leur propre introspection, les paramètres ne peuvent pas changer: les enjeux restent les mêmes et les tensions familiales refont surfaces.

Trouver sa place :

Parfois nous ressentons ce moment comme un bilan forcé sur soi même surtout lorsque nous ne voyons notre famille qu’à cette période la. N’allons nous pas devoir nous justifier sur notre célibat? Le chômage? Les enfants? Les ont-dits entendus à notre sujet tout au long de l’année? 

 

La composition du foyer se modifie avec les décès, les divorces, les maladies, les naissances…Les familles recomposées obligent souvent à repenser les fêtes de noël . En grandissant, en devenant adulte, nous trahissons forcément notre famille . Des choix cornéliens s’offrent à nous. Avec qui et quand passer noël?

Peut être juste avec un peu d’imagination et en osant bousculer nos principes , nous pouvons trouver un terrain d’entente. Avec nos familles mais surtout envers nous même. Nous pouvons être acteur de notre moment!

Être seul :

Pour certains, c’est un moment de solitude et de tristesse. Notre famille est loin, nous travaillons, nous sommes en couple avec une personne mariée…la sensation de mélancolie prend le pouvoir sur celui de la magie de noël. Prenons en compte également que cette déprime est en corrélation avec la saison : propice au mal-être . Les journées sont plus courtes, la luminosité plus faible . Profitons de cette journée pour prendre soin de soi ,et se faire plaisir.  Essayons de casser notre routine en nous accordant un bon moment et surtout vivons le en pleine conscience.

Profiter de cette journée :

Nous pouvons aussi profiter de cette journée pour nous challenger : Ouvrir son coeur au bonheur des autres est un moyen d’en recevoir un peu soi-même. Chasser les mauvais souvenirs et les rancœurs. Lâcher prise , profiter de l’instant présent . Casser les codes et organiser le noël qui répond à nos attentes tout en respectant les autres . Chassons nos idées négatives: sourions , partageons , et donnons de notre temps.  Essayons d’accueillir nos émotions.

C’est aussi cela Noël!

Le déroulement d’une séance thérapeutique

Vous vivez un deuil, une séparation . Vous ressentez un mal être, un manque de confiance en vous. Vous répétez les mêmes schémas. Vous avez besoin de trouver des réponses à vos questions.

Ou simplement, vous souhaitez mieux vous connaitre pour enfin être en accord avec vous-même.

Vous désirez parler, vous confier à un professionnel neutre et bienveillant formé à l’écoute et à laccompagnement.

Vous vous sentez enfin prêt à franchir le cap. Voilà la façon dont se déroule une séance thérapeutique.

“Il faut se connaitre soi-même. Quand cela ne servirait pas à trouver le vrai, cela au moins  sert à régler sa vie, et il n’y a rien de plus juste.” Blaise Pascal

Franchir le pas :

Peut être qu’une connaissance va vous recommander une thérapeute, ou bien vous allez trouver un nom, un site, une activité sur les réseaux sociaux ou internet qui va vous donner le courage de vous lancer. Un mail, un appel téléphonique, qu’importe. Un rendez-vous est fixé. Nous allons enfin nous rencontrer.

Se découvrir :

Le premier rendez-vous permet de faire connaissance, de découvrir les lieux, d’échanger , de nous rencontrer de vous faire une première impression. Si nous nous sentons en confiance, nous poserons ensemble le cadre de la thérapie afin de débuter sur les meilleures bases possibles.

Co-créer :

Les séances suivantes seront fixées en fonction de vos attentes. Ces moments choisis permettent de déposer et d’échanger vos ressentis, vos émotions, vos doutes. Je m’engage à une écoute neutre et bienveillante, dans une relation de confiance, sans aucun jugement.

Nous co-créerons pas à pas, à votre rythme, une thérapie qui vous est personnelle, unique .

La thérapie analytique se déroule à la manière d’une discussion. Les sujets sont libres et n’ont pas besoin d’avoir de lien entre eux. Il n’y a pas à réfléchir sur ce qu’on peut dire ou pas. Les associations sont libres , et avoir l’impression de « passer du coq à l’âne » est normal. Il est important de laisser la place aux fantasmes, aux souvenirs,  aux regrets, aux sentiments ressentis, aux situations vécues.

Mon rôle est de reformuler vos propos afin qu’ils vous soient restitués avec distance. Mon objectif est de clarifier votre pensée. C’est un travail que nous faisons ensemble, dans le but de vous sentir libre.

Débuter un travail sur soi est un réel engagement. Elle demande de l’investissement et du temps. Il s’agit également d’accepter que notre façon d’être va se modifier .

Devenir soi :

Une Psychothérapie n’est pas pour les « fous » ! Chacun a ses propres raisons d’en faire une. Elle a pour but de  trouver ses propres solutions, de se libérer de poids, d’habitudes ou de relations toxiques. Je vous aiderai  à vous sentir libre, à mieux vous connaître et donc à mieux vous comprendre. En modifiant votre façon d’être, vous améliorerez les relations avec les autres.

À bientôt…