“Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie” – Confucius
Le dimanche soir est source de stress. Nous allons au travail avec la boule au ventre. Nous nous ennuyons, sommes démotivés. Parfois, nous ne nous reconnaissons plus. Notre équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle n’est plus satisfait. Nous nous méfions de nos collègues. En réalité, beaucoup de salariés se reconnaissent dans ce schéma.
Le bien-être au travail ne se résume pas à la prévention des risques psychosociaux. C’est faux de penser que toute personne qui n’est pas en souffrance visible est forcément motivée, engagée, et ressent un sentiment de bien-être.
Quels sont les principaux enjeux du bien-être au travail?
1 – les valeurs fondamentales :
Certains éléments paraissent évidents mais sont parfois bafoués. Nous parlons des valeurs fondamentales telles que : le respect, l’empathie, la considération, l’écoute, la bienveillance.
2 – l’ambiance :
Une bonne entente entre collègues, un management bienveillant, des valeurs d’entreprise positives caractérisent une ambiance de travail agréable…
3 – la culture d’entreprise :
Le personnel partage les valeurs, le comportement, les connaissances , le fonctionnement d’une entreprise : sa culture
4 – les conditions de travail :
D’une manière générale c’est l’environnement des salariés : horaires de travail, pénibilité, télétravail.
5 – l’égalité :
Elle désigne l’égalité de traitement entre les femmes et les hommes : promotion, formation, égalité salariale.
6 – le sentiment d’implication :
C’est le sens qu’on donne à son travail, avoir suffisamment de taches à faire pour occuper sa journée et se sentir utile
7 – la reconnaissance:
Il s’agit de valoriser les victoires, les efforts et les réussites.
8 – l’autonomie :
Le salarié peut être acteur dans sa participation à la production et dans la conduite de sa vie professionnelle.
Nous passons beaucoup de temps au travail! Si nous ne nous reconnaissons pas dans ces valeurs, ces enjeux, nous prenons le risque d’être malheureux. Rien n’est figé…
“L’adolescence correspond à la période du développement au cours de laquelle s’opère le passage de l’enfance à l’âge adulte.”
Chaque parent éprouve des doutes, des craintes et des incertitudes face à son enfant qui grandit : ce sentiment d’ingratitude ressenti quand son enfant passe de l’innocence à l’adolescence… Le texte qui suit n’est pas de moi mais d’un auteur inconnu. Je le partage car je le trouve vrai, juste et qu’il m’a touché.”Chers parents, Ce conflit dans lequel nous sommes maintenant, j’en ai besoin. J’ai besoin de ce combat. Je ne peux pas l’expliquer parce que je n’ai pas le vocabulaire pour le faire et parce que, de toute façon, ce que je dirais n’aurait pas de sens. Mais j’ai besoin de ce combat. Désespérément. J’ai besoin de te détester pour le moment, et j’ai besoin que tu y survives. J’ai besoin que tu survives au fait que je te haïsse et que tu me haïsses. J’ai besoin de ce conflit, même si je le hais. Peu importe ce sur quoi nous sommes en conflit : heure du coucher, les devoirs, le linge sale, ma chambre en désordre, sortir, rester à la maison, partir de la maison, ne pas partir, la vie de famille, petit(e) ami(e), pas d’amis, mauvaises fréquentations. Peu importe. J’ai besoin de me battre avec toi au sujet de ces choses et j’ai besoin que tu t’opposes à moi en retour. J’ai désespérément besoin que tu tiennes l’autre extrémité de la corde. Que tu t’y accroches fermement pendant que je tire de mon côté, que je tente de trouver des appuis dans ce nouveau monde auquel je sens que j’appartiens. Avant, je savais qui j’étais, qui tu étais, qui nous étions. Mais maintenant, je ne sais plus. En ce moment, je cherche mes limites et, parfois je ne peux les trouver qu’en te poussant à bout. Repousser les limites me permet de les découvrir. Alors je me sens exister, et pendant une minute je peux respirer. Je sais que tu te rappelles l’enfant doux que j’étais. Je le sais, parce que cet enfant me manque aussi et, parfois, cette nostalgie est ce qu’il y a de plus pénible pour moi. J’ai besoin de ce combat et de constater que, peu importe combien terribles ou exagérés sont mes sentiments, ils ne nous détruiront ni toi ,ni moi. Je veux que tu m’aimes même quand je donne le pire de moi-même, même quand il semble que je ne t’aime pas. J’ai besoin maintenant que tu t’aimes toi et que tu m’aimes moi, pour nous deux. Je sais que ça craint de ne pas être aimé et d’être étiqueté comme étant le méchant. Je ressens la même chose à l’intérieur mais j’ai besoin que tu le tolères et que tu obtiennes de l’aide d’autres adultes. Parce que, moi, je ne peux pas t’aider pour le moment. Si tu veux te réunir avec tes amis adultes et former un « groupe de soutien pour survivre à la fureur de votre adolescent », c’est ok pour moi. Ou parler de moi derrière mon dos, je m’en fiche. Seulement ne m’abandonne pas. N’abandonne pas ce combat. J’en ai besoin. C’est ce conflit qui va m’apprendre que mon ombre n’est pas plus grande que ma lumière. C’est ce conflit qui va m’apprendre que des sentiments négatifs ne signifient pas la fin d’une relation. C’est ce conflit qui va m’apprendre à m’écouter moi-même, quand bien même cela pourrait décevoir les autres. Et ce conflit particulier prendra fin. Comme tout orage, il se calmera. Et je vais l’oublier, et tu l’oublieras. Et puis il reviendra. Et j’aurai besoin que tu t’accroches de nouveau à la corde. J’en aurai besoin encore et encore, pendant des années. Je sais qu’il n’y a rien de satisfaisant pour toi dans ce rôle. Je sais que je ne te remercierai jamais probablement pour ça, ou même que je ne reconnaîtrai jamais le rôle que tu as tenu. En fait, pour tout cela, je vais probablement te critiquer. Il semblera que rien de ce que tu ne fais ne soit jamais assez. Et pourtant, je m’appuie entièrement sur ta capacité à rester dans ce conflit. Peu importe à quel point je m’oppose, peu importe combien je boude. Peu importe à quel point je m’enferme dans le silence. S’il te plaît, accroche-toi à l’autre extrémité de la corde. Et sache que tu fais le travail le plus important que quelqu’un puisse faire pour moi en ce moment. Avec amour, ton enfant adolescent.”
“Choisis un travail que tu aimes et tu n’auras pas à travailler un seul jour de ta vie.” Confucius
Nous ne nous reconnaissons plus dans notre travail… Cependant, dans la période actuelle avoir un emploi, un salaire fixe est presque une chance. Nous trouvons donc des excuses pour ne pas conscientiser notre mal-être : ce n’est pas le bon moment, la conjoncture sera meilleure dans quelques années, mon job n’est pas si mal que ça , mon cadre de travail est confortable … mais si en réalité c’était là peur qui nous empêchait de franchir le cap?
1 : la prise de conscience :
Nous nous plaignons de notre travail mais nous n’arrivons pas à changer . La première question à se poser est : quel bénéfice secondaire me procure cet immobilisme?
Nous nous sentons enfermés dans un train train quotidien, les congés sont posés, le salaire négocié. De ce fait nous nous empêchons d’évoluer, que ce soit dans notre emploi actuel ou vers d’autres horizons.
Pour clarifier notre positionnement nous pouvons par exemple, écrire, sur une feuille, les sentiments que notre job actuel nous procuremais aussi nos aspirations, voire nos projets futurs .
2 : les ressentis au quotidien :
Voici quelques pistes pour conscientiser que nous avons peut-être fait le tour de notre travail:
Nous n’avons plus la même motivation
Nous ne sommes plus satisfaits de nos relations de travail
Nous ne trouvons plus de sens à notre travail
Notre corps somatise
Nous sommes en attente des week-end, des vacances, des jours off
Nous rêvons à d’autres opportunités
Nous nous imaginons franchir le cap
3 : la peur de changer :
Abandonner ce que nous connaissons pour se lancer vers un inconnu procure forcément de la peur.
C’est notre résistance au changement qui la nourrit. Cette peur est la pour nous protéger du danger. En l’apprivoisant, nous allons comprendre les bénéfices que le changement nous procurera . Nous allons ainsi franchir notre zone de confort. Ainsi, nous allons gagner en confiance , en sérénité. Nous ouvrons notre « champs des possibles » .
4 : la mise en place :
Changer, c’est oser se relancer. C’est avoir à faire à de nouvelles personnes, de nouvelles façons de faire. Cela nécessite de se remettre en question, d’être en capacité d’apprendre de nouvelles choses.
5 : oser le changement :
Parfois, nous nous protégeons en restant dans notre situation actuelle. En réalité, nous prenons un autre risque : celui de perdre en estime de soi, de vivre un quotidien qui ne nous correspond pas.
Oser changerpeut nous permettrede :
Sortir de sa zone de confort
Montrer de nouvelles compétences
Se connaître différemment
Avoir de nouvelles opportunités professionnelles
Prendre confiance en soi
Acquérir de nouveaux savoir – faire
S’épanouir professionnellement
S’épanouir personnellement
Ouvrir son champs des possibles
Changer de poste, de travail sont des actes réfléchis. Lorsque le doute intervient, il est urgent de se poser les bonnes questions . Mais surtout s’écouter. Avoir confiance en son intuition est son meilleur allié.
Vous vivez un deuil, une séparation . Vous ressentez un mal être, un manque de confiance en vous. Vous répétez les mêmes schémas. Vous avez besoin de trouver des réponses à vos questions.
Ou simplement, vous souhaitez mieux vous connaitre pour enfin être en accord avec vous-même.
Vous désirez parler, vous confier à un professionnel neutre et bienveillant formé à l’écoute et à laccompagnement.
Vous vous sentez enfin prêt à franchir le cap. Voilà la façon dont se déroule une séance thérapeutique.
“Il faut se connaitre soi-même. Quand cela ne servirait pas à trouver le vrai, cela au moins sert à régler sa vie, et il n’y a rien de plus juste.” Blaise Pascal
Franchir le pas :
Peut être qu’une connaissance va vous recommander une thérapeute, ou bien vous allez trouver un nom, un site, une activité sur les réseaux sociaux ou internet qui va vous donner le courage de vous lancer.Un mail, un appel téléphonique, qu’importe. Un rendez-vous est fixé. Nous allons enfin nous rencontrer.
Se découvrir :
Le premier rendez-vous permet de faire connaissance, de découvrir les lieux, d’échanger , de nous rencontrer de vous faire une première impression. Si nous nous sentons en confiance, nous poserons ensemble le cadre de la thérapie afin de débuter sur les meilleures bases possibles.
Co-créer :
Les séances suivantes seront fixées en fonction de vos attentes. Ces moments choisis permettent de déposer et d’échanger vos ressentis, vos émotions, vos doutes. Je m’engage à une écoute neutre et bienveillante, dans une relation de confiance, sans aucun jugement.
Nous co-créerons pas à pas, à votre rythme, une thérapie qui vous est personnelle, unique .
La thérapie analytique se déroule à la manière d’une discussion. Les sujets sont libres et n’ont pas besoin d’avoir de lien entre eux. Il n’y a pas à réfléchir sur ce qu’on peut dire ou pas. Les associations sont libres , et avoir l’impression de « passer du coq à l’âne » est normal. Il est important de laisser la place aux fantasmes, aux souvenirs,aux regrets, aux sentiments ressentis, aux situations vécues.
Mon rôle est de reformuler vos propos afin qu’ils vous soient restitués avec distance. Mon objectif est de clarifier votre pensée. C’est un travail que nous faisons ensemble, dans le but de vous sentir libre.
Débuter un travail sur soi est un réel engagement. Elle demande de l’investissement et du temps. Il s’agit également d’accepter que notre façon d’être va se modifier .
Devenir soi :
Une Psychothérapie n’est pas pour les « fous » ! Chacun a ses propres raisons d’en faire une. Elle a pour but detrouver ses propres solutions, de se libérer de poids, d’habitudes ou de relations toxiques. Je vous aideraià vous sentir libre, à mieux vous connaître et donc à mieux vous comprendre. En modifiant votre façon d’être, vous améliorerez les relations avec les autres.
À bientôt…
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