Quand consulter un psy?

Quand et pourquoi consulter un psy?

Il existe tellement de raisons d’aller consulter un psy qu’il est difficile de toutes les citer… Mais n’oublions pas, n’importe qui peut aller en thérapie. Il n’y a pas de raison plus légitime qu’une autre de consulter. La démarche est courageuse. Mais elle vaut le coup!

Voici une liste non-exhaustive des raisons qui peuvent nous conduire à consulter :

  • Ressentir  un mal-être
  • Vivre un deuil
  • Avoir vécu un traumatisme 
  • Être envahi par ses émotions qui surviennent régulièrement 
  • avoir des difficultés dans les relations sociales 
  • Être interpellé par une situation dérangeante
  • Avoir vécu un accident, une maladie, un choc…
  • Ressentir des douleurs physiques inexpliquées
  • Faire le point sur sa vie
  • Décharger son quotidien
  • Comprendre ses schémas
  • Demander de l’aide 
  • Trouver sa place dans la famille
  • Gagner en estime et confiance en soi
  • Prendre une décision
  • Éviter le burn-out professionnel
  • Éviter le burn-out parental 
  • Remettre en question les échecs
  • Être écouté
  • Retrouver du sens et de la Liberté
  • Soulager une souffrance 
  • Prendre du temps pour soi 
  • Retrouver le goût des choses 
  • Se connaître 
  • Se comprendre 
  • Surmonter des événements 
  • Faire face à une transition 

Et tellement encore d’autres raisons… chaque ressenti est unique, chaque situation également… c’est ce qui fait toute l’individualité de l’humain.

De façon générale, il peut être utile d’aller voir un psy dès lors que l’on rencontre des difficultés que l’on n’arrive pas à dépasser par ses propres moyens…

Je peux vous accompagner…

 

Surmonter une rupture amoureuse…

Parfois, la vie à deux n’est plus possible , la séparation est alors inevitable…La rupture amoureuse peut apparaître comme un cataclysme. Elle génère un traumatisme, un moment de bascule : rien ne sera plus jamais comme avant. Les attentes , les projections, les espoirs s’envolent et laissent place à un immense vide. Les émotions évoluent d’un instant à l’autre passant du de la sidération au déni à la tristesse ou encore à la colère . Le chagrin d’amour a une temporalité qui lui est propre.

Ce processus normal est parfois apparenté à celui du deuil. Cependant l’objet est bien vivant et peut même être présent dans l’entourage proche. Notre partenaire devient alors notre “ex”. Il nous refuse “juste” sa présence et “surtout” son amour . Une multitude  d’émotions sans ordres précis vont se succéder.

L’incompréhension :

Au départ, nous ne pouvons pas y croire. Nous refusons la fin de la relation et  croyons au retour de l’être aimé . C’est le déni. Nous n’en parlons à personne. La nouvelle est trop brutale pour l’inconscient. C’est l’état de choc. Cette phase n’est pas valable pour la personne « qui rompt » car elle a déjà eu lieu pendant la réflexion.

Nous sommes en manque de l’être aimé. Tout nous rappelle les bons moments passés . Nous ne pourrons plus jamais être heureux ni amoureux. Nous craignons que « notre vie » ne puisse plus avancer . On peut parler de moment de « sevrage », l’amour pouvant être comparé à ce moment là à une addiction. 

Nous cherchons des explications rationnelles. Le film des derniers temps est rejoué, analysé afin de trouver des signaux. Et surtout nous nous culpabilisons quand à une supposée responsabilité. Même si c’est difficile, il faut éviter d’entretenir un lien, couper les réseaux sociaux, et ne pas chercher encore et toujours des éclaircissements. Et surtout ne pas négocier une reprise de couple. Nous nous perdrions à coup sûr. Il est important de mettre des mots sur nos émotions, reconnaître sa peine  et sa souffrance. Pleurer, s’isoler, dormir, faire le fête, rire, si notre corps le ressent. En niant notre douleur, le corps somatisera .

Le sentiment de colère est une mécanisme de défense sain. Il  traduit notre insatisfaction, la perte de contrôle de la situation et notre incompréhension. Il change alors nos interactions à l’autre et est donc le début de la prise de distance . Juguler sa colère donne l’occasion d’observer ce qui s’est vraiment passé, d’avoir un regard extérieur sur sa propre relation passée.

Sur le chemin de l’acceptation :

Accepter la rupture est un passage obligé pour pouvoir aller mieux. Même si elle nous paraît injuste. 

La perte de contrôle de la situation fait souvent écho aux blessures d’enfance. La rupture peut rappeler la difficulté des passages de stades psychanalytiques ou encore raviver  un sentiment d’abandon

C’est alors le point de départ de la prise de recul nécessaire. Essayer de voir son ex tel qu’il est vraiment: de manière objective et raisonnée. 

Et puis c’est le moment de franchir le pas pour consulter. Parler avec une personne extérieure est la solution pour éviter de ressasser. Entamer une thérapie permet de faire le point sur nos vies, travailler sur nos fragilités , comprendre nos schémas, et bien sûr retrouver une estime de soi. Nous pourrons enfin aller de lavant, avoir le choix d’aller mieux, de se reconstruire et d’être heureux. Être tout simplement en accord avec soi-même.

Je peux vous y aider…